Les experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) espèrent que l’affaiblissement de la vague Omicron pourrait créer une situation, nettement, plus gérable, liée à la pandémie de la Covid-19.
Selon les responsables de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), vers la fin du mois de mars 2022, le monde pourrait connaître une faible propagation de la pandémie de Covid-19.
L’organisation onusienne se base, notamment, sur les chiffres de contamination, aux Etats-Unis. Même si le pays connaît, ces derniers jours, une augmentation du nombre de contaminations (2000 par jour), toutefois, il faut noter une baisse du nombre d’admissions à l’hôpital.
Un modèle influent prévoit que presque toutes les nations auront dépassé la vague Omicron à la mi-mars, y compris la Chine et d’autres pays, ayant une politique “zéro COVID”. Cette vague laissera, derrière elle, des niveaux élevés d’immunité, qui pourraient conduire à de faibles niveaux de transmission, pendant plusieurs semaines ou mois. Le modèle estime que 57 % de la population mondiale a, déjà, été infectée par le virus, au moins, une fois.
Les chercheurs onusiens expliquent que le variant Omicron laissera, derrière lui, des niveaux d’immunité, extrêmement, élevés, ce qui les poussent à faire des prédictions optimistes, quant à la portée de la crise sanitaire.
2022, année de la fin de la pandémie de Covid-19
Lundi 24 janvier 2022, l’OMS a publié une déclaration, prévoyant la fin de la “phase d’urgence” de la pandémie de Covid-19, cette année, et affirmé que le variant Omicron “offre un espoir plausible de stabilisation et de normalisation.”
Le directeur régional de l’OMS pour l’Europe, le Dr Hans Kluge, a averti que de nouvelles variantes sont susceptibles d’apparaître, mais qu’avec la vaccination, les nouveaux traitements médicamenteux et les tests et les masques, le monde pourrait atteindre un niveau de maladie, moins perturbant.